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6e arrondissement de Lyon


6e arrondissement de Lyon


Le 6e arrondissement de Lyon est l'un des neuf arrondissements de Lyon, commune française située en région Auvergne-Rhône-Alpes. Il est créé le , la partie nord-est du parc de la Tête d'or lui étant rattachée le .

Il est souvent décrit comme l'arrondissement le plus huppé et chic de Lyon. Ses larges avenues (boulevard des Belges, rue Duquesne, cours Franklin-Roosevelt) et ses places, notamment celle du Maréchal-Lyautey, sont bordées de beaux immeubles anciens et d'hôtels particuliers. Ceux du boulevard des Belges possèdent pour la plupart une vue sur le parc de la Tête d'or.

Le 6e arrondissement est aussi un quartier commerçant, principalement autour du cours Franklin-Roosevelt et de l'avenue de Saxe.

Histoire

Jusqu'au XVIIIe siècle

Le 6e arrondissement est une ancienne zone de plaine alluviale inondable du Rhône : depuis 15 000 ans le fleuve charrie sables et galets et ces alluvions s'accumulent pour former les îles des brotaux et des lones. Le paysage est mouvant : avant 1730, le lit principal du Rhône passe au milieu de ce qui deviendra le parc de la Tête d'or. Sur les îles les moins exposées à la submersion sont implantées des fermes : celles de la Tête d'Or, de Bellecombe, de l'Emeraude. Mais l'activité n'était pas qu'agricole : les Lyonnais venaient se promener et se distraire dans des guinguettes plus ou moins autorisées. Le marionnettiste Cardinely se produit pendant plusieurs saisons aux Brotteaux, à compter de 1777.

La Presqu'île étant surpeuplée, deux projets voient le jour dans les années 1763-1770 : celui de Perrache qui tente de gagner du terrain vers le confluent et celui de Morand qui conçoit un plan pour étendre Lyon vers l'Est. En 1765 Morand acquiert 7 hectares et entreprend de lotir selon un plan en damier dont le centre est une place carrée (la place Kléber).

Il présente en 1766 aux Hospices (alors propriétaires des parties proches du Rhône) le "Plan général de la ville de Lyon et de son agrandissement en forme circulaire dans le terrain des Brottaux" :

  • création d'un canal de déviation d'une partie des eaux du Rhône,
  • réseau de rues en damier, parallèles au Rhône, et création de trois places (actuellement places Puvis-de-Chavannes, Edgar-Quinet, Maréchal-Lyautey)
  • construction d'un nouveau pont, d'abord appelé Saint-Clair, puis Morand : un pont de bois dont les 17 piles sont indépendantes et dotées chacune d'un avant-bec. Le péage du pont concurrence celui des bacs des Hospices.

Morand constitue sa compagnie en 1772 et commence les travaux : le pont est ouvert aux piétons en 1775, puis aux voitures en 1776 (il perdurera jusqu'en 1885). En 1778, il construit sa maison, et commence à lotir autour, sans grand succès. C'est le plan dressé par l'architecte des Hospices, Cyr Decrénice (parfois écrit Décrenice), qui s'impose finalement : il garde le plan en damier, mais réduit le nombre de lots et transforme en rectangles les places circulaires. L'inflexible ordonnance du plan en damier régit toujours la morphologie urbaine du 6e arrondissement et l'individualise dans l'ensemble urbain lyonnais.

La plaine des Brotteaux est le lieu d'événements qui rassemblent des foules. Le 19 janvier 1784, premier vol d'un aérostat à Lyon, nommé Le Flesselles, en l'honneur de l'intendant Jacques de Flesselles.

A l'occasion de l'ascension de la montgolfière La Gustave, en présence du roi Gustave III de Suède, le 1784, Élisabeth Tible devient la première femme au monde à voler à bord d'un ballon.

L'écuyer Franconi fait construire un cirque en bois aux Brotteaux en 1786, rapidement remplacé par une construction en pierre, détruite pendant le siège de Lyon.

De 1789 à 1792 des fêtes révolutionnaires s'y déroulent. Le Siège de Lyon, considéré en état de rébellion, touche les Brotteaux : Morand coupe le pont, ce sera le principal motif de sa condamnation à mort en 1794. Presque tous les immeubles sont détruits, à part la maison de Morand. Puis on exécute en masse. En 1794, à l'occasion d'une « Fête de l'Être suprême » une « montagne » de débris est érigée à l'angle des rues Boileau et Tronchet actuelles et un monument à Jean-Jacques Rousseau est érigé à la pointe de l'île du Consulat. En 1795 un cénotaphe est édifié à la mémoire des victimes du Siège, mais il est détruit par un incendie en 1796.

Au XIXe siècle

Au début du XIXe les circonstances économiques et la politique foncières des Hospices qui répugnent à vendre leurs biens ne sont pas favorables au développement des habitations. Les locations de courte durée et l'obligation de rendre le terrain nu en fin de bail encouragent les constructions en pisé de terre. L'habitat ouvrier et l'artisanat s'étendent : menuiseries, ateliers de tissage et de teintureries...

Les immeubles de nouveaux bourgeois se construisent avec ostentation, alors que les bourgeois d'Ainay plus discrets restent fidèles à leur quartier.

La mise en place d'équipements s'accélère à partir de 1830 : les rues de la partie centrale sont pavées, en 1829-1830 le pont Lafayette et en 1845 la passerelle du Collège sont construits. Les maires de la Guillotière, et surtout Henri Vitton, vont mettre en place un quartier organisé. Les dénominations des rues montrent l'ultra-royalisme du Conseil municipal : place Louis XVI, rue Monsieur, rue Madame, rue des Martyrs (du Siège), rue Elisabeth (sœur de Louis XVI), rue Tronchet (défenseur de Louis XVI), et plus tard rue de Précy. Beaucoup seront débaptisées en 1848. L'église Saint-Pothin est terminée en 1843.

Les établissements de divertissements se multiplient : près de l'actuelle mairie, le Jardin de Flore du limonadier Antoine Spreafico (installé dès 1775), mais aussi les jardins de Paphos. Des arrêtés tentent d'encadrer les bals champêtres, salles de danse, et « fêtes baladoires », ainsi que les jeux des boulistes. Des "montagnes russes", un cirque, un gymnase, l'Alcazar qui accueille bal, concert, courses hippiques, ou encore le jardin d'Hiver ouvert en 1847 sont autant de marques d'une vocation ludique toujours prégnante.

Le , la commune de la Guillotière est entièrement rattachée à la ville de Lyon, pour former le 3e arrondissement (qui couvrait alors les 3e, 6e, 7e et 8e arrondissements actuels).

L'année 1856 marque une césure : elle est à la fois l'année de la crue du au (la plus forte connue des 3 ou 4 derniers siècles), de la mise en place du chemin de fer et de la création du parc de la Tête d'Or.

Le , le 3e arrondissement est partagé en deux nouveaux arrondissements : le 3e et le 6e. Le préfet du Rhône, Chevreau, a présenté ce découpage administratif comme une solution "pour avoir complètement raison de l'esprit d'individualité de cette ancienne commune" (la Guillotière) en s'appuyant sur une division sociale : la distinction entre un arrondissement peuplé de "tâcherons et d'ouvriers" et un autre habité de "commerçants, gens de finance, rentiers".

Au XXe siècle

La nouvelle chapelle Sainte-Croix est reconstruite après modification du quartier. Djaafar Khemdoudi, résistant, s'installe dans ce quartier avant de s'engager dans la Résistance.

Politique et administration

Liste des maires

Tendances politiques et résultats

Élection municipale de 2020
Autres élections

Au premier tour de la présidentielle de 2017, les trois candidats ayant recueilli le plus de voix dans le sixième arrondissement sont François Fillon (40,45 %), Emmanuel Macron (30,74 %) et Jean-Luc Mélenchon (12,24 %). En 2012, Nicolas Sarkozy avait recueilli 47,99 % des voix, François Hollande 22,04 % et François Bayrou 10,90 %.

Population et société

Démographie

En 2021, l'arrondissement comptait 52 007 habitants.

La densité s'élève à 13 795 habitants/km2 en 2021. Sans compter le parc de la Tête d'or (117 ha) qui occupe près du tiers de la superficie totale du 6e arrondissement, la densité s'élève à 20 002,7 habitants/km2.

Population par quartier

Santé

Sports

Cultes

  • centre d'études bouddhiste tibétain
  • église adventiste du 7e jour
  • église évangélique
  • église évangélique de Pentecôte
  • église évangélique luthérienne
  • église orthodoxe russe Saint-Nicolas
  • église orthodoxe russe Saint-Jean le Confesseur
  • paroisse catholique de la Rédemption
  • paroisse catholique Notre-Dame de Bellecombe
  • paroisse catholique Saint-Joseph des Brotteaux
  • paroisse catholique Saint-Pothin
  • paroisse du Saint Nom de Jésus

Géographie

Localisation

Patrimoine

Patrimoine civil

Le sixième peut-être appelé l'arrondissement art-déco de Lyon.

On peut remarquer :

  • Boulevard des Belges :
    • au n°1 immeuble construit vers 1900 par Barthélémy Delorme,
    • aux 9, 10 et 11, ensemble immobilier construit par Jacques Perrin-Fayolle,
    • au 14, 14 bis et 18, immeubles signés Marius Bornarel en 1931,
    • au n°15, hôtel-château Laurent-Vibert construit en 1906 par François Rostagnat,
    • aux n° 31 et 33, immeubles construits par Antoine Sainte-Marie-Perrin pour l'industriel Auguste Isaac,
    • au n° 45 villa d'agrément de style art nouveau construite pour le docteur Condamin par Germain Bouilhères
  • Ancienne gare de Lyon-Brotteaux, qui aujourd'hui abrite entre autres l'une des cinq brasseries de Paul Bocuse (« l'Est ») et une salle des ventes.
  • Brasserie des Brotteaux
  • Complexe de la Cité Internationale
  • Fontaine de la place du Maréchal Lyautey, construite en 1865 par le sculpteur Guillaume Bonnet
  • Hôtel du Gouverneur militaire
  • Immeuble Barioz
  • Palais de Flore

Patrimoine religieux

  • Église de la Rédemption
  • Église Saint-Joseph des Brotteaux
  • Église du Saint-Nom-de-Jésus
  • Église Saint-Pothin

Patrimoine environnemental

  • Parc de la Tête d'or

Équipements ou services

Enseignement

Lycées

Cinq lycées existent actuellement dans le 6e arrondissement de Lyon, 2 sont publics, 3 sont privés :

Collèges

Cinq collèges existent actuellement au sixième arrondissement de Lyon, 2 sont publics, 3 sont privés :

Élémentaires et maternelles

Le 6e arrondissement dispose de 10 établissements publics d'enseignement primaire, auxquels il faut ajouter 8 écoles privées. Sur les 10 établissements publics, 6 sont à la fois école maternelle et élémentaire ; le nombre d'écoles primaires dans le sixième arrondissement de Lyon s'élève à 31 : 16 écoles maternelles et 15 écoles élémentaires.

Culture

  • Bibliothèque municipale Clémence Lortet
  • Musée d'histoire naturelle - Guimet (collections transférées au musée des Confluences)
  • Musée d'art contemporain (MAC).

Autres équipements et services

  • Palais des congrès de Lyon incluant l'amphitheâtre de la Salle 3000
  • Interpol
  • La plupart des consulats étrangers présents à Lyon se trouvent dans cet arrondissement.
  • Casino de Lyon

Voirie de l'arrondissement

Principales voies

  • Avenue de Grande-Bretagne
  • Avenue du Maréchal-Foch
  • Avenue du Maréchal-de-Saxe
  • Avenue Thiers
  • Avenue Verguin
  • Boulevard des Belges
  • Boulevard des Brotteaux
  • Boulevard de Stalingrad
  • Cours Franklin-Roosevelt
  • Cours Lafayette
  • Cours Vitton
  • Quai Charles-de-Gaulle
  • Quai Général Sarrail
  • Quai de Serbie
  • Rue de Créqui
  • Rue Duguesclin
  • Rue Duquesne
  • Rue Garibaldi
  • Rue Tronchet
  • Rue Vendôme
  • Rue Juliette Récamier

Places

  • Place de l'Europe
  • Place d'Helvétie (anciennement place du Consulat). Au numéro 7 se trouve la « maison ou immeuble du Consulat » parfois appelée « maison des maréchaux » ; au-dessus des fenêtres figurent 34 bustes de personnages du Consulat.
  • Place Jules Ferry
  • Place du Maréchal-Lyautey, ancienne place Morand

Ponts

  • Pont Lafayette
  • Passerelle du Collège
  • Pont Morand
  • Pont Saint-Clair, Pont de Lattre-de-Tassigny
  • Pont Winston-Churchill

Quartiers

  • Le quartier des Brotteaux autour de l'ancienne gare du même nom
  • Le nouveau quartier de la Cité internationale au nord du parc de la Tête d'Or
  • Le quartier Bellecombe situé derrière la voie ferrée
  • Le quartier Foch-Tête d'Or entre le parc et les quais du Rhône
  • Le quartier de la Préfecture à cheval sur le 3e arrondissement

Transports

  •  : Stations Foch, Masséna
  •  : Station Brotteaux
  •  : Stations Thiers-Lafayette, Collège Bellecombe
  •  : Stations Thiers-Lafayette, Collège Bellecombe

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 35 501 €, ce qui plaçait le 6e arrondissement au premier rang parmi les 9 arrondissements de Lyon.

Le 6e arrondissement dans la fiction

  • 2010 : Toutes nos envies de Philippe Lioret (scènes de rue et de restaurant tournées avenue Maréchal de Saxe).
  • 2017 : tournage de la mini-série Les Impatientes de Jean-Marc Brondolo avec Noémie Lvovsky et François Morel (à l'église saint Pothin et dans le cabinet du Maire).
  • 2018 : tournage du long-métrage Alice et le Maire de Nicolas Pariser avec Anaïs Demoustier et Fabrice Luchini (rue Bossuet et rue Boileau).

Personnalités liées à l'arrondissement

  • Jean-Antoine Morand (1727-1794), artiste, ingénieur, architecte et urbaniste, a proposé des plans d'urbanisme, acheté des terrains, construit l'ancien Pont Morand. Restent aujourd'hui quelques murs de sa maison place Kléber.
  • Élisabeth Tible (1757-?) première femme à faire un vol libre en montgolfière, La Gustave. L'aérostat décolle le entre les actuelles rues Duguesclin, Créqui, Sèze et Bossuet.
  • Antoine-Marie Chenavard (1787-1833) a résidé rue Vendôme.
  • Claude-Marius Vaïsse (1799-1864), fonctionnaire et homme politique, a fait aménager en 1857 le Parc de la Tête d'Or.
  • Joseph Merklin (1819-1905) s'installe au 11 rue Vendôme en 1872.
  • Jonas Vitta (1820-1892), banquier, a vécu au 38 de l'avenue de Noailles (avenue Maréchal-Foch en 1929), devenu en 1914 l'Hôtel du Gouverneur militaire.
  • Louis Bardey (1851-1915), peintre décorateur, a vécu au 14 rue Robert.
  • Joseph Vitta (1860-1942), banquier et collectionneur d'art, échange en 1913 son hôtel du 38 de l'avenue de Noailles contre l'Hôtel de Varissan.
  • Françoise Fayolle (1865-1925), appelée "la mère Fillioux" et "impératrice des mères lyonnaises", cuisinait au 73 rue Duquesne.
  • Justin Godart (1871-1956), est né au 22 avenue de Saxe.
  • Jeanne Bardey (1872-1954), sculptrice, graveuse et peintre a vécu au 14 rue Robert.
  • Jean-Louis Chorel (1875-1946), sculpteur, statuaire et peintre, est né au 12 rue Cuvier, a été domicilié au 36 rue Tête d'Or.
  • Robert Laurent-Vibert (1884-1925) , industriel et mécène, habite au 15 boulevard des Belges.
  • Henriette Bardey, (1894-1960), sculptrice, a vécu au 14 rue Robert.
  • Zoé Roche (1897-1945), résistante, a été arrêtée en à son domicile du quai Sarrail.
  • Jeanine Sontag (1925-1944), résistante, a habité au 24 rue Cuvier.
  • Anne Sylvestre (1934-2020), autrice-compositrice-interprète, est née dans le 6e arrondissement, le 20 juin 1934.
  • Véronique Trillet-Lenoir (1957-2023), oncologue et femme politique française.
  • Pascal Bejui (1957-2023), ferroviphile, écrivain et éditeur

Notes et références

Notes

Références

Annexes

Bibliographie

  • Paul Saint-Olive, « Notice sur le territoire de la Tête-d'Or », Revue du Lyonnais, 2e série, no 20,‎ , p. 61-77 (lire en ligne)
  • Paul Saint-Olive, « Notice sur le territoire de la Tête-d'Or », Revue du Lyonnais, 2e série, no 20,‎ , p. 142-151 (lire en ligne)
  • Paul Saint-Olive, « Notice sur le territoire de la Tête-d'Or », Revue du Lyonnais, 2e série, no 20,‎ , p. 209-222 (lire en ligne)
  • Pierre Yves Saunier, Lyon au XIXe siècle : les espaces d'une cité, Lyon, Université Lumière Lyon II, , 1278 p. (lire en ligne)
  • Jacques Bruyas et Erick Roux de Bézieux, Il y a 130 ans, le 6ème, Lyon, Editions Horvat, , 127 p. (ISBN 978-2-7171-0983-2)
  • Jean Pelletier, Connaître son arrondissement : le sixième, Lyon, Editions lyonnaises d'Art et d'Histoire, , 96 p. (ISBN 978-2-84147-062-4)
  • Dominique Bertin et Nathalie Mathian (préf. Gérard Collomb), Lyon : silhouettes d'une ville recomposée : architecture et urbanisme, 1789-1914, Lyon, Éd. lyonnaises d'art et d'histoire, , 351 p. (ISBN 978-2-84147-199-7)
  • Marc Polisson (coord.), « Les secrets du boulevard des Belges : enquête exclusive », Lyon people, no 98,‎ , p. 18-85 (ISSN 1952-7764, lire en ligne)
  • Jacques Bruyas et Jean-François Gross, Excellence 6ème, S.l., les Grilles d'Or, , 124 p. (ISBN 978-2-917886-56-4)
  • Jean-Paul Donné, Paul Feuga, Jean-Pierre Gutton et al., Plan historique et patrimonial du 6e arrondissement de Lyon, Lyon, Ville de Lyon, , 2 p., 1 plan en couleur 30 x 27 cm sur une feuille de 60 x 59 cm, plié 20 x 10 cm (lire en ligne [PDF])
  • Gérard Corneloup, « Histoire de Lyon 6ème : du divertissement à l’embourgeoisement en 150 ans », Lyonpeople.com,‎ (lire en ligne)
  • Marc Polisson (coord.), « Les secrets de l'avenue Foch : enquête exclusive », Lyon people, no 98,‎ , p. 26-208 (ISSN 1952-7764, lire en ligne)
  • Chantal-Jane Buisson, Françoise Chambaud, Jean-Noël Curis et al., Lyon 6e : 1867-2017, 150 ans racontés de A à Z, Lyon, Ville de Lyon, , 112 p. (lire en ligne [PDF])

Liens externes

Manifestations culturelles et festivités

  • Mois de la francophonie
  • Carrefour des Associations
  • Les Métiers d'art


  • Ressource relative à la géographie :
    • Insee (communes)
  • Site officiel de la mairie du 6e arrondissement
  • Portail de la métropole de Lyon

Text submitted to CC-BY-SA license. Source: 6e arrondissement de Lyon by Wikipedia (Historical)


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