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Première circonscription de la Sarthe


Première circonscription de la Sarthe


La première circonscription de la Sarthe est l'une des cinq circonscriptions législatives françaises que compte le département de la Sarthe (72) situé en région Pays de la Loire.

Description géographique et démographique

De 1958 à 1986

La première circonscription de la Sarthe était composée de :

  • canton de Ballon
  • canton de Beaumont-sur-Sarthe
  • canton de Conlie
  • canton du Mans-I
  • canton de Sillé-le-Guillaume

Source : Journal Officiel du 14-15 Octobre 1958.

Depuis 1988

La première circonscription de la Sarthe est délimitée par le découpage électoral de la loi n°86-1197 du , elle regroupe les divisions administratives suivantes :

  • Canton de Beaumont-sur-Sarthe
  • Canton de Conlie
  • Canton de Fresnay-sur-Sarthe
  • Canton du Mans-Centre
  • Canton du Mans-Nord-Ouest
  • Canton de Saint-Paterne
  • Canton de Sillé-le-Guillaume.

D'après le recensement de la population en 2012, réalisé par l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE), la population totale de cette circonscription est estimée à 105 947 habitants.

Historique des députations


Historique des élections

Élections de 1958

Le suppléant de Jean-Yves Chapalain était Me Jacques Delhay, avocat au barreau du Mans.

Élections de 1962

Élections de 1967

Le suppléant de Jean-Yves Chapalain était Jean-Marie Prat, pharmacien au Mans.

Élections de 1968

Le suppléant de Jean-Yves Chapalain était Jean-Marie Prat.

Élections de 1973

Le suppléant de Gérard Chasseguet était Jean-Marie Prat.

Élections de 1978

Le Docteur Georges Bollengier-Stragier, UDF, conseiller général, maire de Coulaines, était le suppléant de Gérard Chasseguet.

Élections de 1981

Le suppléant de Gérard Chasseguet était Jacques Dorise, UDF, conseiller général du canton du Mans-Centre.

Élections de 1988

Le suppléant de Gérard Chasseguet était Daniel Cabaret, conseiller général DVD du canton du Mans-Nord-Ouest, maire de La Bazoge.

Élections de 1993

Le suppléant de Gérard Chasseguet était Daniel Cabaret.

Élections de 1997

Élections de 2002

Élections de 2007

Élections de 2012

Élections de 2017

Élections de 2022

Élections de 2024

Notes et références

Voir aussi

Articles connexes

  • Liste des députés de la Sarthe
  • Arrondissements de la Sarthe
  • Cantons de la Sarthe
  • Liste des circonscriptions électorales de France (par ordre croissant d'habitants)
  • Découpage électoral
  • Élections législatives en France

Liens externes

Département de la Sarthe

  • La fiche de l'INSEE de cette circonscription : « Tableaux et Analyses de la première circonscription de la Sarthe », sur insee.fr, site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ) [PDF]
  • « Tous les députés du département de la Sarthe depuis 1789 », sur assemblee-nationale.fr, site de l'Assemblée nationale française (consulté le )
  • « Informations contentieuses sur le département de la Sarthe (Élections législatives de 2002) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur conseil-constitutionnel.fr, site du Conseil constitutionnel (consulté le )

Circonscriptions en France

  • « Carte des circonscriptions législatives en France », sur assemblee-nationale.fr, site de l'Assemblée nationale française (consulté le )
  • « Résultats électoraux officiels en France »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur interieur.gouv.fr, site du ministère de l'Intérieur (France) (consulté le )
  • Description et Atlas des circonscriptions électorales de France sur http://www.atlaspol.com, Atlaspol, site de cartographie géopolitique, consulté le .
  • Portail de la Sarthe
  • Portail du Mans
  • Portail de la politique française
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Beaumont-Pied-de-Bœuf (Sarthe)


Beaumont-Pied-de-Bœuf (Sarthe)


Beaumont-Pied-de-Bœuf est une commune française, située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire, peuplée de 477 habitants (les Belmontais).

La commune fait partie de la province historique du Maine, et se situe dans le Haut-Maine.

Géographie

Beaumont-Pied-de-Bœuf est une commune du Haut-Maine, à la limite du Haut-Anjou sarthois, surnommé le Maine angevin, et située à 37 km au sud du Mans et 50 km au nord de Tours.

Lieux-dits et hameaux

  • la Fredonnière
  • la Leigerie
  • Biou
  • Château Gontier
  • le Petit Coq
  • la Botinière
  • Bel-Air
  • la Boussaillerie
  • le Perroux
  • le Cottage (Cowboy Legend Ranch)
  • le Carrefour
  • la Sautrie
  • la Couetterie (château)
  • la Faverie (manoir)
  • Jumelle
  • la Levraudière
  • la Crocherie
  • la Fromagerie
  • les Toucanes
  • le Clos Maillar
  • les Landes

Communes limitrophes

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 771 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Christophe-sur-le-Nais à 17 km à vol d'oiseau, est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 682,2 mm,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.

Urbanisme

Typologie

Beaumont-Pied-de-Bœuf est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montval-sur-Loir, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants,.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,2 %), prairies (34 %), forêts (24,1 %), zones urbanisées (1,4 %), cultures permanentes (1,4 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes ad Bellummontem vers 1110, Parochia de Bello Monte de Pede Bovis vers 1232, Biaumont Pié de Buef en 1314.

Toponyme médiéval issu de l’ancien français bel mont, où l’adjectif bel « beau » n’exprime pas nécessairement un jugement esthétique, mais l’importance ou la hauteur d'un mont. Le toponyme de Pied-de-Bœuf (un fief de la paroisse) pourrait être une déformation du « pas du bœuf », pas dans le sens de gué.

Histoire

Moyen Âge : les fiefs de Beaumont-Pied-de-Bœuf

  • Bois-Corbon, partie sud-ouest de Bercé, dont le siège de seigneurie est au lieu du pavillon de Lavernat.
  • La Bussonnière : au prieuré de Château-l'Hermitage au XVIIIe siècle.
  • Les Boisardières : siège de seigneurie détruit, situé face à l'entrée de la Faverie.
  • Beaumont : siège de la seigneurie de paroisse, subsiste la tour ; à Jean Martel avec Gressende et droit d'usage en Bercé en 1383 ; à René de Montberon en 1489; aux seigneurs de Mangé en Verneil-le-Chétif : d'Illiers, de Thomond, de Choiseul-Praslin jusqu'à la Révolution.
  • La Couetterie : à la famille Couet/Couette de 1445 jusque vers 1680 puis par mariage aux de Vanssay.
  • Egresoulde/Aigresonde/Acra-Silva/Gressende : vers 1070 à Rotberto de Acra-Silva ; à Jean Martel, chevalier, seigneur de Beaumont en 1383; à René de Montberron en 1480, aux seigneurs de Mangé en Verneil-le-Chétif : d'Illiers, de Thomond, Choiseul-Praslin après 1605 jusqu'à la Révolution.
  • La Faverie/Fouvrie : à la famille Couet de la Couetterie en 1545, puis aux Ledoux-de la Faverie au XVIIIe siècle.
  • La Guillonnière/L'Eguillonière : à Léon Brunet, sieur de la Guillonnière en 1694.
  • Pied-de-Bœuf/Pede-Bovis : à Fouques de Pauvert en 1342, aux Choiseul-Praslin au XVIIIe siècle.
  • Le Poirier/Peirriers, à cheval sur la commune voisine de Jupilles.
  • Le prieuré Saint-Marc-des Salles/Saint-Mars/Aula-le-Bourcé, à la lisière de Bercé, donné en 1207 par Guillaume des Roches à l'abbaye de Mélinais (La Flèche, Sarthe).
  • La Sionnerie, visible au plan terrier des archives départementales de la Sarthe.

Politique et administration

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Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005.

En 2021, la commune comptait 477 habitants, en diminution de 1,24 % par rapport à 2015 (Sarthe : −0,42 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Économie

Lieux et monuments

  • Église Notre-Dame, des XIe, XIIIe et XVIIe siècles, partiellement inscrite au titre des Monuments historiques depuis 1926.
  • Manoir de la Faverie, du XVIIe siècle, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1926.
  • Tour du XVe siècle, à l'entrée sud du bourg, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1926.
  • Menhir du Perray, au lieu-dit le Perray, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1984.
  • Château de la Couetterie, du XVIIIe.

Activité et manifestations

Personnalités liées

  • Théophile Romastin (1883 à Beaumont-Pied-de-Bœuf - 1957 ), homme politique, maire de Beaumont-Pied-de-Bœuf, conseiller d'arrondissement, député.

Articles connexes

  • Liste des communes de la Sarthe

Notes et références

Notes

Cartes

Références

  • Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)

Lien externe

  • Résumé statistique de Beaumont-Pied-de-Bœuf sur le site de l'Insee
  • Portail de la Sarthe
  • Portail du Maine
  • Portail des communes de France

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Château de Beaumont-sur-Sarthe


Château de Beaumont-sur-Sarthe


Le château de Beaumont-sur-Sarthe est localisé sur la commune de Beaumont-sur-Sarthe, dans le département de la Sarthe, en région Pays de la Loire.

Cette forteresse est construite entre le XIe et le XIIe siècle. La date exacte de sa fondation n'a pas été déterminée avec plus de précision et demeure, en l'état actuel, débattue. Le château belmontais, au cours de cette période, le Moyen Âge « classique », érigé à la demande des seigneurs locaux : issus les vicomtes du Mans et de Beaumont. La demeure seigneuriale est conçue en pierre maçonnée et présente un style architectural roman.

Depuis sa fondation, le château a tour à tour fait l'objet de conflits, d'invasions et de destruction partielle, notamment pendant la guerre de Cent Ans.

Le , un arrêté ministériel attribue au château médiéval de Beaumont-sur-Sarthe, ancienne demeure des Vicomtes du Maine, une inscription sur la liste des monuments historiques de France.

Du château belmontais, il ne demeure actuellement que certaines parties encore intactes, d'autres se présentant sous forme de ruines.

Localisation

Le château est situé à proximité du cœur de ville de Beaumont-sur-Sarthe, au sein du canton de Sillé-le-Guillaume, dans l'arrondissement de Mamers, département de la Sarthe, en région des Pays de la Loire.

Par ailleurs, et de manière plus précise, il se dresse en surplomb du cours de la Sarthe. Enfin, il est en outre longé par la « rue du Mans » (route départementale 338), à l'Ouest, et la « Rue du Château », au Nord-Est.

Histoire

Cette forteresse est construite entre le XIe et le XIIe siècle. La date exacte de sa fondation n'a pas été déterminée avec plus de précision et demeure, en l'état actuel, débattue. Elle est, à cette époque (le Moyen Âge « classique »), commanditée par les seigneurs locaux issus de la dynastie des vicomtes du Mans et de Beaumont.

Depuis sa fondation et celle de la cité auquel il est rattaché, l'édifice a successivement connu plusieurs guerres et changements de domaniaux et notamment induits par les conflits de la seconde moitié du XIe siècle opposant les Comtes du Maine et les Ducs de Normandie, dont, entre autres, Guillaume le Conquérant (dit « le Bâtard ») et Hubert de Beaumont, entre 1062 et 1064.

En 1073, le château est investi par les troupes anglaises de Guillaume le Conquérant. Une décennie plus tard, en 1083, le souverain anglais restitue la demeure seigneuriale à son propriétaire par droit de sang.

Un peu plus d'un demi-siècle plus tard, en 1135, alors que le domaine de Beaumont et de son château sont sous la gestion seigneuriale de Roscelin Ier, fils de Raoul VII et petit-fils d'Hubert II, la cité sarthoise et son édifice font à nouveau l'objet de pillages et d'incendies par les Anglais.

Au cours de la Guerre de Cent Ans, en 1417, le château est pris par le souverain d'Angleterre Henri V (1386-1422). Entre 1418-1443, l'édifice se retrouve tour à tour aux mains des seigneurs locaux et des Anglais, jusqu'à ce que, en 1449, les troupes d'outre-Manche, alors sous le commandement militaire d'Osbern Mundeford, en soient définitivement expulsées.

Au terme du XVe siècle, une ordonnance effectuée par Louis XI et visant à pérenniser une paix durable entre les seigneuries locales, entraîne la démolition de leurs anciennes places fortes. Le château belmontais, à l'instar de la plupart des forteresses appartenant au territoire territoire royal, font l'objet d'un démontage. Toutefois, seul l'étage supérieur du donjon est démantelé et les structures maçonnées de l'enceinte subissent une coupe au niveau de leur point d'arase afin de transformer celle-ci en cour intérieure. De la demeure des vicomtes de Beaumont, il ne reste dès lors plus que son assise et sa tour d'angle. Ultérieurement, le château ayant perdu son principal statut de défense de la cité, plus aucune garnison n'y fut abritée.

Bien que la forteresse demeure partiellement détruite, elle bénéficie, à la fin des années 1920, en date du , d'une inscription sur la liste des monuments historiques de France par arrêté ministériel.

Description

Le château est bâti dans un style architectural roman et se classe dans le groupe des premiers donjons conçus en pierre taillée et ayant un plan au sol de forme rectangulaire ou carrée, à l'instar des châteaux des Carmes, à Beaugency, de Loches, de Courmenant, à Rouez-en-Champagne, ou encore celui de Saint-Jean, à Nogent-le-Rotrou,.

Bien qu'il n'en demeure que des vestiges, il est possible d'en restituer son aspect d'origine. Le château belmontais se présentait sous la forme globale d’un rectangle, mais irrégulier,. Il possédait une longueur moyenne d'environ 33 mètres et une largeur de 22 mètres,. La façade Nord se développait sur un espace supplémentaire de 2 mètres par rapport à celle du Sud. Situées en surplomb de la Sarthe, les structures maçonnées de l'édifice se développaient sur une hauteur approximative estimée à 30 mètres (soit environ 10 de plus que maintenant), et leur épaisseur variait entre 2.50 et 3,30 mètres, selon leur orientation, les sections les plus épaisses se présentant face aux chemins d'accès du site,.

L'essentiel du logis, c'est-à-dire les lieux d'habitations privatifs des seigneurs de Beaumont et de leur famille, se situaient au sein de la section supérieure du château,. Le corps de logis était muni, sur son angle Nord, d'une tour fortifiée de 6 mètres de diamètre et de forme circulaire,. Cet ouvrage de fortification avait pour objectif de guetter la cité belmontaise et ses alentours. Par ailleurs, les murs de la demeure seigneuriale étaient doublés par de puissants contreforts évoluant sur les angles Sud-Est et Nord-Ouest,. Ces contreforts sont constitués de grès « roussard » (pierre locale) et se développent sur une largeur d'environ 2 mètres pour une saillie avoisinant 0,80 mètre.

Située sur son côté oriental, une bayle (ou « baille ») se déployait,. Cette extension, qui faisait également office d'avant-poste, abritait l'ensemble des dépendances du château, telles que les communs et les écuries,.

Galerie

Références

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Bibliographie

  • Alphonse-Victor Angot, « Les vicomtes du Maine », Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne, no 30,‎ , p. 180 à 232, 320-342, 404-424. (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  • collectif - Cabinet Guillerminet – Coulaines (72), « Patrimoines architectural, socioculturel, et archéologique », dans Cabinet Guillerminet – Coulaines (72), PLU Beaumont-sur-Sarthe : Rapport de Présentation (pièce numéro 1), (lire en ligne [PDF]), p. 9, 16 et 17.
  • Collectif - Département de la Sarthe, Inventaire-Sommaire des archives départementales de la Sarthe : Série E (Féodalité, communes, bourgeoisie et famille. — Titres féodaux, titres de famille, Notaires et Tabellions, Communes et Municipalités, Corporations d'arts et métiers, Confréries et Sociétés laïques), , 132 p. (lire en ligne [PDF]).
  • Henri Renault Du Motey, Origines de la Normandie et du duché d'Alençon : Histoire des quatre premiers ducs de Normandie et des Talvas, princes de Bellême, seigneurs d'Alençon, de Sées, de Domfront, du Passais et du Saosnois ; précédée d'une Etude sur le diocèse de Sées au IXe siècle - de l'an 850 à l'an 1085., Paris, A. Picard, (lire en ligne).
  • Robert Tiger, « Les fortifications de Beaumont », dans Robert Triger, Le Château et la ville de Beaumont-le-Vicomte pendant l'occupation Anglaise : 1417-1450, Mamers - Le Mans, Librairie-éditeur A. de Saint-Denis, (lire en ligne), p. 9 à 26.
  • Robert Tiger, « Les invasions anglaises et la résistance : 1417-1430 », dans Robert Triger, Le Château et la ville de Beaumont-le-Vicomte pendant l'occupation Anglaise : 1417-1450, Mamers - Le Mans, Librairie-éditeur A. de Saint-Denis, (lire en ligne), p. 27 à.
  • R. Allen Brown, « Les châteaux féodaux. », dans R. Allen Brown, Y a-t-il une civilisation du monde plantagenêt ? : Actes du Colloque d'Histoire Médiévale. Fontevraud, 26-28 avril 1984., vol. 29e année (n°113-114), Cahiers de civilisation médiévale, (DOI 10.3406/ccmed.1986.2312, lire en ligne), p. 37 à 39.
  • Gaston Dubois-Guchan, « Recherches sur la vie de Guillaume des Roches, sénéchal d'Anjou, du Maine et de Touraine (troisième et dernier article). », Bibliothèque de l'École des chartes, vol. tome 34,‎ , p. 502 à 541 (DOI 10.3406/bec.1873.446510, lire en ligne, consulté le ).
  • Jean-Marie Maillefer, « Une famille aristocratique aux confins de la Normandie : Les Géré au XIe siècle. », dans Jean-Marie Maillefer et al., Autour du pouvoir ducal normand, Xe – XIIe siècle, vol. 17, Cahier des Annales de Normandie, (DOI 10.3406/annor.1985.6664, lire en ligne), p. 175 à 206.
  • Michel Balard (dir.), Jean-Philippe Genêt (dir.) et al., Des Barbares à la Renaissance, vol. 14/456/9, t. 20, Paris, Hachette, coll. « Initiation à l'Histoire », , 280 pages et 42 cartes (ISBN 978-2-01-006274-2).
  • Jean-François Lemarignier (dir.), La France médiévale : institutions et société, Paris 5e arrondissement, Librairie Armand Colin, coll. « collection U », , 416 p. (ISBN 2-200-31061-7).
  • Jacqueline Soyer, « Les fortifications circulaires isolées en France. », Annales de Normandie, vol. 15e année, no 3,‎ , p. 353-414 (DOI 10.3406/annor.1965.6731, lire en ligne, consulté le ).
  • Jacqueline Soyer, « Cadastres romains et terroirs circulaires. », Dialogues d'histoire ancienne, vol. 10,‎ , p. 330 et 331 (DOI 10.3406/dha.1984.1631, lire en ligne, consulté le ).
  • Querrien Armelle, « Parcellaires antiques et médiévaux du Berry. », Journal des savants, no 2,‎ , p. 235 à 366. (DOI 10.3406/jds.1994.1580, lire en ligne, consulté le ).
  • J. N. Morellet, S. B. Barat et E. Bussière, Le Nivernois : Album historique et pittoresque, la bibliothèque de l'État de Bavière, (lire en ligne), p. 190 à 200.

Voir aussi

Liens externes

  • Ressource relative à l'architecture :
    • Mérimée
  • Jean-Marie Froussard, « Les Portes de Beaumont-sur-Sarthe », sur Site officiel de la commune de Beaumont-sur-Sarthe, (consulté le ).

Articles connexes

  • Beaumont-sur-Sarthe
  • Pont roman de Beaumont-sur-Sarthe
  • Prieuré de Vivoin
  • Liste des monuments historiques de l'arrondissement de Mamers
  • Liste des châteaux de la Sarthe
  • Liste des comtes puis ducs du Maine
  • Portail des monuments historiques français
  • Portail de la Sarthe
  • Portail des châteaux de France
  • Portail de l’architecture et de l’urbanisme

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Pont roman de Beaumont-sur-Sarthe


Pont roman de Beaumont-sur-Sarthe


Le pont roman de Beaumont-sur-Sarthe est un ouvrage d'art en arc maçonné d'époque médiévale et localisé entre les communes de Beaumont-sur-Sarthe et Maresché, au sein du départements français de la Sarthe, en région Pays de la Loire. Ce pont surplombe les eaux du cours sarthois au niveau du lieu-dit « La Croix Verte ».

L'ouvrage d'art est construit entre le XIe et le XIIe siècle, alors que la cité belmontaise, dénommée à cette époque « Beaumont-le-Vicomte », vient d'être fondée par l'un des seigneurs issus de la lignée des vicomtes du Maine.

Dans un premier temps édifié au moyen de bois de charpente, le pont belmontais, d'architecture romane, est ultérieurement remanié grâce à des blocs de pierre taillée mis en appareillé.

Il fait l'objet de deux destructions partielles, l'une en 1562, à l'époque des insurrections calvinistes au sein du royaume de France ; l'autre en 1944, lors du recul des troupes allemandes face à celles des forces alliées.

Le , un arrêté ministériel attribue à l'ancien pont reliant les villes de Beaumont et Maresché une inscription sur la liste des monuments historiques de France.

Au début des années 2000, le pont belmontais est entièrement réhabilité et restauré.

Localisation

Le pont est situé entre les villes de Beaumont-sur-Sarthe et Maresché, au sein du canton de Sillé-le-Guillaume, dans l'arrondissement de Mamers, département de la Sarthe, en région des Pays de la Loire. Par ailleurs, il franchit le cours de la Sarthe au lieu-dit de « La Croix Verte ».

Enfin, et de manière plus précise, il se dresse entre la « rue Albert-Maignan » (rive droite de la Sarthe), à Beaumont, et la « Rue du Pont-Romain » (rive gauche), à Maresché.

Histoire

La ville de Beaumont-sur-Sarthe est fondée par l'un des vicomtes du Mans et seigneurs de Beaumont, Hubert de Beaumont-au-Maine, au cours du Xe siècle.

Le pont belmontais, également connu sous le nom de « Pont Romain » est construit entre le XIe et le XIIe siècle, sous le commandite des seigeurs locaux. Il servit dans un premier temps comme passage à gué, afin de relier les deux rives de la Sarthe (rivière).

Vers le milieu du XVIe siècle, en 1562, l'ouvrage d'art à vocation stratégique et utilitaire fait l'objet d'une destruction partielle sous le coups des boulets de canon des troupes calvinistes, alors en proie à des mouvements d'émeute.

Au début du XIXe siècle, le pont de la commune sarthoise, alors connue sous le toponyme de « Beaumont-le-vicomte », fait office de passage de la voie impériale raccordant la commune du Mans à celle d'Angers (actuelle route nationale 23).

À la fin de la seconde guerre mondiale, en 1944, le pont de Beaumont-sur-Sarthe subie une nouvelle destruction à la dynamite.

Bien que l'ouvrage d'art demeure encore partiellement démoli, il bénéficie à la fin des années 1980, en date du , d'une inscription sur la liste des monuments historiques de France par arrêté ministériel.

En fin, au début des années 2000, le pont sarthois, fait l'objet d'une complète restauration.

Description

Il s'agit d'un ouvrage d'art d'architecture romane. À sa fondation, le pont belmontais est constitué d'une solide charpente en bois. Plus tard, il est complètement remanié au moyen de maçonneries composées de blocs de pierre taillées organisées en appareillage. L'édifice est alors muni de 5 arches voûtées qui sont alternées par des piles à encorbellement. Ces nouvelles caractéristiques le rattache dès lors à la famille des ponts dit « à voûtes en maçonnerie », et le classe dans le groupe des ponts « en arc ».

Galerie et mise en valeur du monument

Notes et références

Notes

Références

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Annexes

Bibliographie

  • collectif - Cabinet Guillerminet – Coulaines (72), « Patrimoines architectural, socioculturel, et archéologique », dans Cabinet Guillerminet – Coulaines (72), PLU Beaumont-sur-Sarthe : Rapport de Présentation (pièce numéro 1), (lire en ligne [PDF]), pages 16 et 17.
  • R. Allen Brown, « Les châteaux féodaux. », dans R. Allen Brown, Y a-t-il une civilisation du monde plantagenêt ? : Actes du Colloque d'Histoire Médiévale. Fontevraud, 26-28 avril 1984., vol. 29e année (n°113-114), Cahiers de civilisation médiévale, (DOI 10.3406/ccmed.1986.2312, lire en ligne), pages 37 à 39.
  • Gaston Dubois-Guchan, « Recherches sur la vie de Guillaume des Roches, sénéchal d'Anjou, du Maine et de Touraine (troisième et dernier article) », Bibliothèque de l'École des chartes, vol. tome 34,‎ , pages 502 à 541 (DOI 10.3406/bec.1873.446510, lire en ligne, consulté le ).
  • Jean-Marie Maillefer, « Une famille aristocratique aux confins de la Normandie : Les Géré au XIe siècle. », dans Jean-Marie Maillefer et al., Autour du pouvoir ducal normand, Xe – XIIe siècle, vol. 17, Cahier des Annales de Normandie, (DOI 10.3406/annor.1985.6664, lire en ligne), pages 175 à 206.
  • Michel Balard (dir.), Jean-Philippe Genêt (dir.) et al., Des Barbares à la Renaissance, vol. 14/456/9, t. 20, Paris, Hachette, coll. « Initiation à l'Histoire », , 280 pages et 42 cartes (ISBN 978-2-01-006274-2).
  • Jean-François Lemarignier (dir.), La France médiévale : institutions et société, Paris 5e arrondissement, Librairie Armand Colin, coll. « collection U », , 416 pages (ISBN 2-200-31061-7).
  • Jacqueline Soyer, « Les fortifications circulaires isolées en France. », Annales de Normandie, vol. 15e année, no 3,‎ , pages 353-414 (DOI 10.3406/annor.1965.6731, lire en ligne, consulté le ).
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  • J. N. Morellet, S. B. Barat et E. Bussière, Le Nivernois : Album historique et pittoresque, la bibliothèque de l'État de Bavière, (lire en ligne), pages 190 à 200.

Liens externes

  • Ressource relative à l'architecture :
    • Mérimée
  • Jean-Marie Froussard, « Un peu d'histoire : Les Portes de Beaumont-sur-Sarthe », sur Site officiel de la commune de Beaumont-sur-Sarthe, (consulté le ).
  • « Pont roman à Beaumont-sur-Sarthe - < XIIe siècle », sur Art et Histoire, (consulté le ).

Articles connexes

  • Beaumont-sur-Sarthe
  • Maresché
  • Château de Beaumont-sur-Sarthe
  • Liste des vicomtes du Maine
  • Liste des monuments historiques de l'arrondissement de Mamers
  • Liste de ponts de la Sarthe
  • Portail des monuments historiques français
  • Portail de la Sarthe
  • Portail des ponts
  • Portail de l’architecture et de l’urbanisme

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Liste des cantons de la Sarthe


Liste des cantons de la Sarthe


Le département de la Sarthe compte 21 cantons depuis le redécoupage cantonal de 2014 (40 cantons auparavant).

Histoire

Découpage cantonal de 1982 à 2015

Liste des 40 cantons du département de la Sarthe, par arrondissement :

  • arrondissement de la Flèche (12 cantons - sous-préfecture : La Flèche) :
    canton de Brûlon - canton de La Chartre-sur-le-Loir - canton de Château-du-Loir - canton de la Flèche - canton du Grand-Lucé - canton du Lude - canton de Loué - canton de Malicorne-sur-Sarthe - canton de Mayet - canton de Pontvallain - canton de Sablé-sur-Sarthe - canton de la Suze-sur-Sarthe
  • arrondissement de Mamers (16 cantons - sous-préfecture : Mamers) :
    canton de Beaumont-sur-Sarthe - canton de Bonnétable - canton de Bouloire - canton de Conlie - canton de la Ferté-Bernard - canton de Fresnay-sur-Sarthe - canton de la Fresnaye-sur-Chédouet - canton de Mamers - canton de Marolles-les-Braults - canton de Montfort-le-Gesnois - canton de Montmirail (Sarthe) - canton de Saint-Calais - canton de Saint-Paterne - canton de Sillé-le-Guillaume - canton de Tuffé - canton de Vibraye
  • arrondissement du Mans (12 cantons - préfecture : Le Mans) :
    canton d'Allonnes (Sarthe) - canton de Ballon - canton d'Écommoy - canton du Mans-Centre - canton du Mans-Est-Campagne - canton du Mans-Nord-Campagne - canton du Mans-Nord-Ouest - canton du Mans-Nord-Ville - canton du Mans-Ouest - canton du Mans-Sud-Est - canton du Mans-Sud-Ouest - canton du Mans-Ville-Est

Il y a une homonymie exacte pour le canton d'Allonnes (avec celui existant en Maine-et-Loire), comme il en existe une pour la commune chef-lieu.

Il y a une homonymie exacte pour le canton de Montmirail (avec celui existant dans la Marne), comme il en existe une pour la commune chef-lieu.

Il n'y a aucune homonymie pour le canton de Ballon, mais il en existe une pour la commune chef-lieu.

Redécoupage cantonal de 2014

Dans la poursuite de la réforme territoriale engagée en 2010, l'Assemblée nationale adopte définitivement le 17 avril 2013 la réforme du mode de scrutin pour les élections départementales destinée à garantir la parité hommes/femmes. Les lois (loi organique 2013-402 et loi 2013-403) sont promulguées le . Un nouveau découpage territorial est défini par décret du pour le département de la Sarthe. Celui-ci entre en vigueur lors du premier renouvellement général des assemblées départementales suivant la publication du décret, prévu en . Les conseillers départementaux sont élus au scrutin majoritaire binominal mixte. Les électeurs de chaque canton éliront au Conseil départemental, nouvelle appellation des Conseils généraux, deux membres de sexe différent, qui se présenteront en binôme de candidats. Les conseillers départementaux seront élus pour 6 ans au scrutin binominal majoritaire à deux tours, l'accès au second tour nécessitant 10 % des inscrits au 1er tour. En outre la totalité des conseillers départementaux est renouvelée.

Ce nouveau mode de scrutin nécessite un redécoupage des cantons dont le nombre est divisé par deux avec arrondi à l'unité impaire supérieure si ce nombre n'est pas entier impair et avec des conditions de seuils minimaux. Dans la Sarthe le nombre de cantons passe ainsi de 40 à 21.

Les critères du remodelage cantonal sont les suivants : le territoire de chaque canton doit être défini sur des bases essentiellement démographiques, le territoire de chaque canton doit être continu et les communes de moins de 3 500 habitants sont entièrement comprises dans le même canton. Il n’est fait référence, ni aux limites des arrondissements, ni à celles des circonscriptions législatives.

Conformément à de multiples décisions du Conseil constitutionnel depuis 1985 et notamment sa décision no 2010-618 DC du , il est admis que le principe d’égalité des électeurs au regard des critères démographiques est respecté lorsque le ratio conseiller/habitant de la circonscription est compris dans une fourchette de 20 % de part et d'autre du ratio moyen conseiller/habitant du département. Pour le département de la Sarthe, la population de référence est la population légale en vigueur au , à savoir la population millésimée 2010, soit 563 518 habitants. Avec 21 cantons la population moyenne par conseiller départemental est de 26 834 habitants. Ainsi la population de chaque nouveau canton doit-elle être comprise entre 21 467 habitants et 32 201 habitants pour respecter le principe de l'égalité citoyenne au vu des critères démographiques.

Composition actuelle

Composition détaillée

Répartition par arrondissement

Contrairement à l'ancien découpage où chaque canton était inclus à l'intérieur d'un seul arrondissement, le nouveau découpage territorial s'affranchit des limites des arrondissements. Certains cantons peuvent être composés de communes appartenant à des arrondissements différents. Dans le département de la Sarthe, c'est le cas de quatre cantons (Bonnétable, Changé, Loué et Savigné-l'Évêque).

Le tableau suivant présente la répartition par arrondissement :

Références

Voir aussi

  • Liste des communes de la Sarthe
  • Portail de la Sarthe

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