![](/modules/owlapps_apps/img/nopic.jpg)
La première circonscription de la Sarthe est l'une des cinq circonscriptions législatives françaises que compte le département de la Sarthe (72) situé en région Pays de la Loire.
La première circonscription de la Sarthe était composée de :
Source : Journal Officiel du 14-15 Octobre 1958.
La première circonscription de la Sarthe est délimitée par le découpage électoral de la loi n°86-1197 du , elle regroupe les divisions administratives suivantes :
D'après le recensement de la population en 2012, réalisé par l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE), la population totale de cette circonscription est estimée à 105 947 habitants.
Le suppléant de Jean-Yves Chapalain était Me Jacques Delhay, avocat au barreau du Mans.
Le suppléant de Jean-Yves Chapalain était Jean-Marie Prat, pharmacien au Mans.
Le suppléant de Jean-Yves Chapalain était Jean-Marie Prat.
Le suppléant de Gérard Chasseguet était Jean-Marie Prat.
Le Docteur Georges Bollengier-Stragier, UDF, conseiller général, maire de Coulaines, était le suppléant de Gérard Chasseguet.
Le suppléant de Gérard Chasseguet était Jacques Dorise, UDF, conseiller général du canton du Mans-Centre.
Le suppléant de Gérard Chasseguet était Daniel Cabaret, conseiller général DVD du canton du Mans-Nord-Ouest, maire de La Bazoge.
Le suppléant de Gérard Chasseguet était Daniel Cabaret.
Beaumont-Pied-de-Bœuf est une commune française, située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire, peuplée de 477 habitants (les Belmontais).
La commune fait partie de la province historique du Maine, et se situe dans le Haut-Maine.
Beaumont-Pied-de-Bœuf est une commune du Haut-Maine, à la limite du Haut-Anjou sarthois, surnommé le Maine angevin, et située à 37 km au sud du Mans et 50 km au nord de Tours.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 771 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Christophe-sur-le-Nais à 17 km à vol d'oiseau, est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 682,2 mm,. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022.
Beaumont-Pied-de-Bœuf est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montval-sur-Loir, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants,.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,2 %), prairies (34 %), forêts (24,1 %), zones urbanisées (1,4 %), cultures permanentes (1,4 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui).
Le nom de la localité est attesté sous les formes ad Bellummontem vers 1110, Parochia de Bello Monte de Pede Bovis vers 1232, Biaumont Pié de Buef en 1314.
Toponyme médiéval issu de l’ancien français bel mont, où l’adjectif bel « beau » n’exprime pas nécessairement un jugement esthétique, mais l’importance ou la hauteur d'un mont. Le toponyme de Pied-de-Bœuf (un fief de la paroisse) pourrait être une déformation du « pas du bœuf », pas dans le sens de gué.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005.
En 2021, la commune comptait 477 habitants, en diminution de 1,24 % par rapport à 2015 (Sarthe : −0,42 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Le château de Beaumont-sur-Sarthe est localisé sur la commune de Beaumont-sur-Sarthe, dans le département de la Sarthe, en région Pays de la Loire.
Cette forteresse est construite entre le XIe et le XIIe siècle. La date exacte de sa fondation n'a pas été déterminée avec plus de précision et demeure, en l'état actuel, débattue. Le château belmontais, au cours de cette période, le Moyen Âge « classique », érigé à la demande des seigneurs locaux : issus les vicomtes du Mans et de Beaumont. La demeure seigneuriale est conçue en pierre maçonnée et présente un style architectural roman.
Depuis sa fondation, le château a tour à tour fait l'objet de conflits, d'invasions et de destruction partielle, notamment pendant la guerre de Cent Ans.
Le , un arrêté ministériel attribue au château médiéval de Beaumont-sur-Sarthe, ancienne demeure des Vicomtes du Maine, une inscription sur la liste des monuments historiques de France.
Du château belmontais, il ne demeure actuellement que certaines parties encore intactes, d'autres se présentant sous forme de ruines.
Le château est situé à proximité du cœur de ville de Beaumont-sur-Sarthe, au sein du canton de Sillé-le-Guillaume, dans l'arrondissement de Mamers, département de la Sarthe, en région des Pays de la Loire.
Par ailleurs, et de manière plus précise, il se dresse en surplomb du cours de la Sarthe. Enfin, il est en outre longé par la « rue du Mans » (route départementale 338), à l'Ouest, et la « Rue du Château », au Nord-Est.
Cette forteresse est construite entre le XIe et le XIIe siècle. La date exacte de sa fondation n'a pas été déterminée avec plus de précision et demeure, en l'état actuel, débattue. Elle est, à cette époque (le Moyen Âge « classique »), commanditée par les seigneurs locaux issus de la dynastie des vicomtes du Mans et de Beaumont.
Depuis sa fondation et celle de la cité auquel il est rattaché, l'édifice a successivement connu plusieurs guerres et changements de domaniaux et notamment induits par les conflits de la seconde moitié du XIe siècle opposant les Comtes du Maine et les Ducs de Normandie, dont, entre autres, Guillaume le Conquérant (dit « le Bâtard ») et Hubert de Beaumont, entre 1062 et 1064.
En 1073, le château est investi par les troupes anglaises de Guillaume le Conquérant. Une décennie plus tard, en 1083, le souverain anglais restitue la demeure seigneuriale à son propriétaire par droit de sang.
Un peu plus d'un demi-siècle plus tard, en 1135, alors que le domaine de Beaumont et de son château sont sous la gestion seigneuriale de Roscelin Ier, fils de Raoul VII et petit-fils d'Hubert II, la cité sarthoise et son édifice font à nouveau l'objet de pillages et d'incendies par les Anglais.
Au cours de la Guerre de Cent Ans, en 1417, le château est pris par le souverain d'Angleterre Henri V (1386-1422). Entre 1418-1443, l'édifice se retrouve tour à tour aux mains des seigneurs locaux et des Anglais, jusqu'à ce que, en 1449, les troupes d'outre-Manche, alors sous le commandement militaire d'Osbern Mundeford, en soient définitivement expulsées.
Au terme du XVe siècle, une ordonnance effectuée par Louis XI et visant à pérenniser une paix durable entre les seigneuries locales, entraîne la démolition de leurs anciennes places fortes. Le château belmontais, à l'instar de la plupart des forteresses appartenant au territoire territoire royal, font l'objet d'un démontage. Toutefois, seul l'étage supérieur du donjon est démantelé et les structures maçonnées de l'enceinte subissent une coupe au niveau de leur point d'arase afin de transformer celle-ci en cour intérieure. De la demeure des vicomtes de Beaumont, il ne reste dès lors plus que son assise et sa tour d'angle. Ultérieurement, le château ayant perdu son principal statut de défense de la cité, plus aucune garnison n'y fut abritée.
Bien que la forteresse demeure partiellement détruite, elle bénéficie, à la fin des années 1920, en date du , d'une inscription sur la liste des monuments historiques de France par arrêté ministériel.
Le château est bâti dans un style architectural roman et se classe dans le groupe des premiers donjons conçus en pierre taillée et ayant un plan au sol de forme rectangulaire ou carrée, à l'instar des châteaux des Carmes, à Beaugency, de Loches, de Courmenant, à Rouez-en-Champagne, ou encore celui de Saint-Jean, à Nogent-le-Rotrou,.
Bien qu'il n'en demeure que des vestiges, il est possible d'en restituer son aspect d'origine. Le château belmontais se présentait sous la forme globale d’un rectangle, mais irrégulier,. Il possédait une longueur moyenne d'environ 33 mètres et une largeur de 22 mètres,. La façade Nord se développait sur un espace supplémentaire de 2 mètres par rapport à celle du Sud. Situées en surplomb de la Sarthe, les structures maçonnées de l'édifice se développaient sur une hauteur approximative estimée à 30 mètres (soit environ 10 de plus que maintenant), et leur épaisseur variait entre 2.50 et 3,30 mètres, selon leur orientation, les sections les plus épaisses se présentant face aux chemins d'accès du site,.
L'essentiel du logis, c'est-à-dire les lieux d'habitations privatifs des seigneurs de Beaumont et de leur famille, se situaient au sein de la section supérieure du château,. Le corps de logis était muni, sur son angle Nord, d'une tour fortifiée de 6 mètres de diamètre et de forme circulaire,. Cet ouvrage de fortification avait pour objectif de guetter la cité belmontaise et ses alentours. Par ailleurs, les murs de la demeure seigneuriale étaient doublés par de puissants contreforts évoluant sur les angles Sud-Est et Nord-Ouest,. Ces contreforts sont constitués de grès « roussard » (pierre locale) et se développent sur une largeur d'environ 2 mètres pour une saillie avoisinant 0,80 mètre.
Située sur son côté oriental, une bayle (ou « baille ») se déployait,. Cette extension, qui faisait également office d'avant-poste, abritait l'ensemble des dépendances du château, telles que les communs et les écuries,.
Le pont roman de Beaumont-sur-Sarthe est un ouvrage d'art en arc maçonné d'époque médiévale et localisé entre les communes de Beaumont-sur-Sarthe et Maresché, au sein du départements français de la Sarthe, en région Pays de la Loire. Ce pont surplombe les eaux du cours sarthois au niveau du lieu-dit « La Croix Verte ».
L'ouvrage d'art est construit entre le XIe et le XIIe siècle, alors que la cité belmontaise, dénommée à cette époque « Beaumont-le-Vicomte », vient d'être fondée par l'un des seigneurs issus de la lignée des vicomtes du Maine.
Dans un premier temps édifié au moyen de bois de charpente, le pont belmontais, d'architecture romane, est ultérieurement remanié grâce à des blocs de pierre taillée mis en appareillé.
Il fait l'objet de deux destructions partielles, l'une en 1562, à l'époque des insurrections calvinistes au sein du royaume de France ; l'autre en 1944, lors du recul des troupes allemandes face à celles des forces alliées.
Le , un arrêté ministériel attribue à l'ancien pont reliant les villes de Beaumont et Maresché une inscription sur la liste des monuments historiques de France.
Au début des années 2000, le pont belmontais est entièrement réhabilité et restauré.
Le pont est situé entre les villes de Beaumont-sur-Sarthe et Maresché, au sein du canton de Sillé-le-Guillaume, dans l'arrondissement de Mamers, département de la Sarthe, en région des Pays de la Loire. Par ailleurs, il franchit le cours de la Sarthe au lieu-dit de « La Croix Verte ».
Enfin, et de manière plus précise, il se dresse entre la « rue Albert-Maignan » (rive droite de la Sarthe), à Beaumont, et la « Rue du Pont-Romain » (rive gauche), à Maresché.
La ville de Beaumont-sur-Sarthe est fondée par l'un des vicomtes du Mans et seigneurs de Beaumont, Hubert de Beaumont-au-Maine, au cours du Xe siècle.
Le pont belmontais, également connu sous le nom de « Pont Romain » est construit entre le XIe et le XIIe siècle, sous le commandite des seigeurs locaux. Il servit dans un premier temps comme passage à gué, afin de relier les deux rives de la Sarthe (rivière).
Vers le milieu du XVIe siècle, en 1562, l'ouvrage d'art à vocation stratégique et utilitaire fait l'objet d'une destruction partielle sous le coups des boulets de canon des troupes calvinistes, alors en proie à des mouvements d'émeute.
Au début du XIXe siècle, le pont de la commune sarthoise, alors connue sous le toponyme de « Beaumont-le-vicomte », fait office de passage de la voie impériale raccordant la commune du Mans à celle d'Angers (actuelle route nationale 23).
À la fin de la seconde guerre mondiale, en 1944, le pont de Beaumont-sur-Sarthe subie une nouvelle destruction à la dynamite.
Bien que l'ouvrage d'art demeure encore partiellement démoli, il bénéficie à la fin des années 1980, en date du , d'une inscription sur la liste des monuments historiques de France par arrêté ministériel.
En fin, au début des années 2000, le pont sarthois, fait l'objet d'une complète restauration.
Il s'agit d'un ouvrage d'art d'architecture romane. À sa fondation, le pont belmontais est constitué d'une solide charpente en bois. Plus tard, il est complètement remanié au moyen de maçonneries composées de blocs de pierre taillées organisées en appareillage. L'édifice est alors muni de 5 arches voûtées qui sont alternées par des piles à encorbellement. Ces nouvelles caractéristiques le rattache dès lors à la famille des ponts dit « à voûtes en maçonnerie », et le classe dans le groupe des ponts « en arc ».
Le département de la Sarthe compte 21 cantons depuis le redécoupage cantonal de 2014 (40 cantons auparavant).
Liste des 40 cantons du département de la Sarthe, par arrondissement :
Il y a une homonymie exacte pour le canton d'Allonnes (avec celui existant en Maine-et-Loire), comme il en existe une pour la commune chef-lieu.
Il y a une homonymie exacte pour le canton de Montmirail (avec celui existant dans la Marne), comme il en existe une pour la commune chef-lieu.
Il n'y a aucune homonymie pour le canton de Ballon, mais il en existe une pour la commune chef-lieu.
Dans la poursuite de la réforme territoriale engagée en 2010, l'Assemblée nationale adopte définitivement le 17 avril 2013 la réforme du mode de scrutin pour les élections départementales destinée à garantir la parité hommes/femmes. Les lois (loi organique 2013-402 et loi 2013-403) sont promulguées le . Un nouveau découpage territorial est défini par décret du pour le département de la Sarthe. Celui-ci entre en vigueur lors du premier renouvellement général des assemblées départementales suivant la publication du décret, prévu en . Les conseillers départementaux sont élus au scrutin majoritaire binominal mixte. Les électeurs de chaque canton éliront au Conseil départemental, nouvelle appellation des Conseils généraux, deux membres de sexe différent, qui se présenteront en binôme de candidats. Les conseillers départementaux seront élus pour 6 ans au scrutin binominal majoritaire à deux tours, l'accès au second tour nécessitant 10 % des inscrits au 1er tour. En outre la totalité des conseillers départementaux est renouvelée.
Ce nouveau mode de scrutin nécessite un redécoupage des cantons dont le nombre est divisé par deux avec arrondi à l'unité impaire supérieure si ce nombre n'est pas entier impair et avec des conditions de seuils minimaux. Dans la Sarthe le nombre de cantons passe ainsi de 40 à 21.
Les critères du remodelage cantonal sont les suivants : le territoire de chaque canton doit être défini sur des bases essentiellement démographiques, le territoire de chaque canton doit être continu et les communes de moins de 3 500 habitants sont entièrement comprises dans le même canton. Il n’est fait référence, ni aux limites des arrondissements, ni à celles des circonscriptions législatives.
Conformément à de multiples décisions du Conseil constitutionnel depuis 1985 et notamment sa décision no 2010-618 DC du , il est admis que le principe d’égalité des électeurs au regard des critères démographiques est respecté lorsque le ratio conseiller/habitant de la circonscription est compris dans une fourchette de 20 % de part et d'autre du ratio moyen conseiller/habitant du département. Pour le département de la Sarthe, la population de référence est la population légale en vigueur au , à savoir la population millésimée 2010, soit 563 518 habitants. Avec 21 cantons la population moyenne par conseiller départemental est de 26 834 habitants. Ainsi la population de chaque nouveau canton doit-elle être comprise entre 21 467 habitants et 32 201 habitants pour respecter le principe de l'égalité citoyenne au vu des critères démographiques.
Contrairement à l'ancien découpage où chaque canton était inclus à l'intérieur d'un seul arrondissement, le nouveau découpage territorial s'affranchit des limites des arrondissements. Certains cantons peuvent être composés de communes appartenant à des arrondissements différents. Dans le département de la Sarthe, c'est le cas de quatre cantons (Bonnétable, Changé, Loué et Savigné-l'Évêque).
Le tableau suivant présente la répartition par arrondissement :
Owlapps.net - since 2012 - Les chouettes applications du hibou